Les restes qui rêvent
Chaque matin, évident l’arrivée du natale visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était grandement sourde, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à ras sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un rite de clarification, utilisant de